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un vieux fermier africain entrain d'essayer un ordinateur |
En Afrique Subsaharienne, l’ordinateur reste inconnue et de luxe et moins de 10 pourcent de paysans connaisse pas cette outil incontournable de taille dans cette société moderne de l'information et de la communication.Le petit fermier ne peut pas se permettre un ordinateur puisque il l'ignore encore et plus nécessitant une électricité et une formation informatique quand nous savons que très peu de nos parent sont analphabètes et le Burundi n’étant alimenté à moins de 10 pourcent en électricité. Néanmoins même si ce défi y est, nous avons trouvé que le paysan analphabète peut utiliser aisément le téléphone portable. Dans cette logique comme certains ont commencé des études, nous voyons bien qu'a partir des logiciels de divertissement souvent plus facile, nous pouvons enseigner nos parent de logiciels comment le Microsoft Word ou Excel du moins pour le peu qui sait lire et écrire. Le défi majeur reste le manque d'ordinateurs surtout portable puisque même nous sois disant leader, il nous est parfois difficile de trouver un ordinateur pour transmettre le rapport. L'initiative de CTA et le projet ARDYS est alors incontournable pour vulgariser et rendre disponible de tels équipements à la communauté rurale nécessiteuse de ces moyens modernes de communication et de l'information et le projet de procurer des ordinateurs serait originale et pertinent.
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