Bonjour chèr(e) Ami(e);je vient de participer a un concours de blogs organisé par le CTA et ce blogue a été retenue parmi 36 meilleurs blogs sur les thèmes de l'agriculture parmi les 90 qui était en compétition.
En effet ; pour que ce blogue soit primé;votre voix est plus qu'utile et je compte sur vous;partage cette information a tout vos amis et reseaux.
Merci pour votre soutient a moi et ce secteur faisant vivre plusieurs million mais qui reste avec beaucoup de defis
Ce blog est créé par Eric Mavaruganda«The voice of small farmer in Burundi» , le jeune fermier leader du Grand Forum des organisations d'agri-éleveurs du Burundi en vue de mobiliser et rendre l'agriculture et l’élevage plus attractive à la population rurale et plus particulièrement à la jeunesse faisant souvent l'éxode rural.
samedi 10 décembre 2011
dimanche 6 novembre 2011
La vote du projet de lois régissant les coopératives et groupements de fermiers au Burundi
Madame Ir Odette KAYITESI |
Les coopératives seront une autre étape crucial vers le développement du petit fermier car elle a un capital et ainsi elle peut contracter un crédit agricole à une institution financière.Ainsi,l'audience a voté à 100% la loi qu'elle a jugé salutaire pour le petit fermier.
Justification
Les coopératives sont peu développées et le nombre insuffisant de coopératives bien solides décourage les communautés ruraux.Dans les associations;les fermiers ne trouvent qu'une occasion de rencontre avec le amis;de parler la politique ou problèmes sociaux.
Au Burundi les groupements agricoles ou associations agricoles sont bien nombreuses mais ils se trouvent
sans espoir puisque de ce que nous voyons nous les acteurs;les financements ne sont accordées par les organisations non gouvernementales internationales ou institutions financières à des noms haut placées dans la sociétés.Ainsi;même l'argent destinés au petit paysan est détournée au niveau locale dans cette manière.L’avènement et la consolidation de coopératives va aider le petits paysan à accéder à cette argent qui lui était destinées sans pouvoir l’acquérir et cette fois ci, il aura la connaissance et le droit de bénéficier les services et prêts de Banques.
dimanche 30 octobre 2011
La micro entreprenariat au service de la jeunesse au Burundi
Justification
L'entreprenariat est sujet d’actualité puisque les temps ont changé il y'a quelques années.Il suffisait de terminer les écoles secondaires ou supérieurs et obtenir du boulots de la part du gouvernement ou directement être embauchée dans le secteur privé.Actuellement avec plus de 15 ans dans la guerre fratricide qui a emporte de centaines de milliers de frères et sœurs;le chaumage bat son recors au seins de la jeunesse et la formations humanistes qu'on reçoit au sein de l’école secondaire ou supérieur n'a plus de grande importance;les enseignement de metiers et formation pour ouvrir les esprits s'averent plus que necessaire et l'entreprenariat semble d'actualite et venir au juste moment même si accessibilité du capital un reste encore un grand défis à relever.
jeudi 27 octobre 2011
La privatisation de la filière café au Burundi : le cri des caféiculteurs
Un caféiculteur Burundais pendant la récolte |
Ils vont tenter d’expliquer une dernière fois leurs préoccupations sur la stratégie actuelle aux ministres et aux membres des commissions parlementaires concernés.
Sur terrain, les producteurs de café s’organisent pour vendre leur cerise au mieux offrant : c’est-à-dire les Sogestals et tous les autres privés sauf Webcor. En outre, beaucoup de coopératives de café sont en train de construire leurs propres stations de lavage sans ou avec l’aide des bailleurs de fonds internationaux qui soutiennent les revendications des caféiculteurs.
Webcor et les investisseurs potentiels doivent comprendre que les producteurs de café ne se laisseront pas faire. Ceux qui démontrent qu’ils ne veulent pas donner un prix correct aux caféiculteurs et qui contribuent par conséquent à l’appauvrissement d’un peuple sortant de la guerre civile, ne vont pas rentabiliser leurs investissements. Ils ne vont jamais recevoir assez de cerises de café.
Les producteurs revendiquent :
* Le gel du second appel d’offre pour la vente des stations aux multinationales extérieures, tant que les acteurs concernés ne se sont pas concertés quant à la meilleure stratégie de privatisation à mettre en œuvre
* Que la Banque Mondiale revoie les conditions de soumission aux appels d’offre, qui excluent de fait les caféiculteurs burundais, non seulement du processus de décision, mais aussi de l’acquisition de stations
* Que l’Etat burundais et ses partenaires reconnaissent la propriété des stations aux caféiculteurs, qui les ont remboursées via la taxe prélevée par l’Etat sur leur café
* La CNAC appelle également de ses vœux une stratégie alternative de la part de l’Etat burundais et de la Banque mondiale qui permettrait de dégager des moyens pour appuyer les paysans pour améliorer la ductivité de la filière
* La révision de la stratégie actuelle de privatisation pour intégrer toutes leurs préoccupations.
Contexte : le Burundi, 3ème pays le plus pauvre de la planète, tire 80% de ses recettes d’exportation du café qui constitue la principale source de revenus pour près de 750.000 familles, soit près de 55% de la population burundaise. Les 145 usines de lavage du café constituent le principal tissu industriel du pays.
En 2005, la Banque Mondiale exige le démantèlement total de la filière et la privatisation des 133 usines de dépulpage publiques, ce qui permettra de contrôler l’exportation du produit.
Précisons que, depuis des décennies, une taxe de 60 Fbu/kg de café-cerise est prélevée auprès des producteurs pour rembourser la dette contractée par l’Etat à l’époque de la construction des stations de lavage dans les années ’80. Les caféiculteurs considèrent donc que les stations dont ils ont remboursé le prêt leur appartiennent au moins partiellement, si ce n’est pas en totalité.
En 2009, la Banque mondiale décide de conditionner ses aides prévues au budget national (51% du budget ordinaire burundais en 2009 !) et à divers programmes au lancement de l’appel d’offre tel que proposé par diverses études qu’elle avait commanditées.
Le Gouvernement est bien obligé de se plier à ces injonctions et lance un premier appel d’offres. Malgré les protestations des caféiculteurs, le Groupe suisse WEBCOR se voit attribuer trois lots, soit 13 stations de dépulpage et de lavage au prix d’un million de dollars, un prix d’achat dérisoire si on sait que l’Union européenne avait injecté en 2008 la somme de 19 millions d’euros pour la seule rénovation des 133 stations de lavage.
Les producteurs réunis au sein de la CNAC se voient dépossédés de leur outil de transformation saisissent la justice, mais aussi demandent un dialogue avec le Gouvernement. C’est ainsi que le 20/1/2011, un atelier de concertation et d’échanges sur cette privatisation a réuni tous les intervenants dans la filière avec comme thème, « Un consensus est possible ». Les structures gouvernementales qui étaient présentes à cet atelier sont le Ministère à la Présidence chargé de la bonne gouvernance et de la privatisation, l’ARFIC, le comité des réformes de la filière café et le SCEP.
A l’issu de cet atelier, des engagements avaient été pris par les représentants du gouvernement notamment :
* La révision participative de la stratégie de privatisation encours avant le deuxième appel d’offre, en y intégrant les préoccupations des producteurs (la stratégie n’est pas une bible)
* L’évaluation objective de la première vente pour tirer les leçons appropriées.
Le 11/2/2011, une émission radio a été diffusée sur les antennes de six radios et les représentants du gouvernement ont repris les mêmes engagements.
En outre, l’un des objectifs principaux annoncés dans la stratégie de désengagement de l’Etat dans la filière café est l’amélioration du prix au producteur. Or, dans les provinces où Webcor a acquis des stations, la situation est aujourd’hui au bord de l’implosion et de la révolte populaire, car la multinationale paie le café aux producteurs à un prix nettement inférieur à celui des usines contrôlées par les autres acteurs de la filière.
Elle a en effet payé lors de la dernière campagne, 350 FBU/kg de cerise contre 490 FBu payé par les autres acteurs. La CNAC dénonce cette pratique d’achat à bas prix met en garde le gouvernement sur ce risque de révolte populaire pour réclamer le droit le plus élémentaire des producteurs.
mercredi 26 octobre 2011
une agriculture attractive pour le fermier et la jeunesse rurale: une option pour vaincre la famine au Burundi
une agriculture attractive pour le fermier et la jeunesse rurale: une option pour vaincre la famine au Burundi: Le gouvernement du Burundi vient de faire une priorisation de culture pour faire face à l’insécurité alimentaire au Burundi.Ainsi le Prési...
lundi 24 octobre 2011
une agriculture attractive pour le fermier et la jeunesse rurale: Le défi de l 'ordinateur sur le petit fermier Fer...
une agriculture attractive pour le fermier et la jeunesse rurale: Le défi de l 'ordinateur sur le petit fermier Fer...: En Afrique Subsaharienne, l’ordinateur reste inconnue par le petit fermier puisqu' étant chèr et et nécessitant une certaine formation inf...
dimanche 23 octobre 2011
une agriculture attractive pour le fermier et la jeunesse rurale: Les Effort de l'ESAFF BURUNDI dans l'implications ...
une agriculture attractive pour le fermier et la jeunesse rurale: Les Effort de l'ESAFF BURUNDI dans l'implications ...: Une cinquantaine d'associations membres de l'Eastern and Southern Africa small scale Farmers Forum Burundi ESAFF BURUNDI en sigle, a reçu pl...
Les Effort de l'ESAFF BURUNDI dans l'implications de petits fermiers dans l'agribusiness
Une cinquantaine d'associations membres de l'Eastern and Southern Africa small scale Farmers Forum Burundi ESAFF BURUNDI en sigle, a reçu plus de 8 sacs de semences de tourne sol de la part de leur présidente Madame NZEYIMANA Odette pouvant plante 40 hectares.
Cette personnalité de marque, accompagné du parlementaire Anne Marie NZIRUBUSA élue dans cette province de MUYINGA a expliqué l’utilité de cette plante fournissant de l'huile sans cholestérol à un prix plus ou moins élevé à cette population des communes BUTIHINDA et BUHINYUZA.Elle a mis un accent particulier sur la nouvelle vision de l'agriBusiness puisqu'il n'est pas suffisant de produire pour consommer mais qu'il faut produire une culture pouvant leurs procure de l'argent surtout qu'elle a déjà trouve une industrie qui va acheter la récolte de tourne sol.
Cette personnalité de marque, accompagné du parlementaire Anne Marie NZIRUBUSA élue dans cette province de MUYINGA a expliqué l’utilité de cette plante fournissant de l'huile sans cholestérol à un prix plus ou moins élevé à cette population des communes BUTIHINDA et BUHINYUZA.Elle a mis un accent particulier sur la nouvelle vision de l'agriBusiness puisqu'il n'est pas suffisant de produire pour consommer mais qu'il faut produire une culture pouvant leurs procure de l'argent surtout qu'elle a déjà trouve une industrie qui va acheter la récolte de tourne sol.
samedi 22 octobre 2011
Le défi de l 'ordinateur sur le petit fermier Fermier en Afrique subsaharienne
un vieux fermier africain entrain d'essayer un ordinateur |
Une agriculture pouvant faire face à l'insécurité alimentaire au Burundi et occuper la jeunesse Rurale.
Le Burundi a besoin comme les autres pays de l'Afrique, une agriculture de marché puisque l'agriculture familiale qui est de subsistance n'arrange finalement grand chose à la famille.
Tracteur au travail |
jeudi 20 octobre 2011
une maladie inconue de chèvre au Burundi
Au Burundi,il est apparu une maladie de chèvre dans les provinces de Muyinga et Rutana une maladie jusqu' à maintenant inconnue.La maladie serait venue de la République unie de Tanzanie puisque voulant distribuer de chèvre a la population l'organisation non gouvernementale JRS a acheté plus de 150 chèvres en Tanzanie et depuis la distribution la maladie est apparue avec de signes douteuse et sérieuse affaiblissant les chèvres jusqu'à laissee les chevres couler la salive.La solution prise dans les deux provinces reste l'enterrement des animaux atteintes pour éviter la propagation de la maladie.
La peur reste grandissantes de la vache de pauvre qui est la chèvre car la population voit que la maladie peut être une épidémie difficile à maitriser.La guerre ayant emporter des centaines de milieux le petit bétail était jusqu’à maintenant la sourcer financier du bas peuple et une fois la chèvre qui représente plus de 70 pour cent de ruminant la pauvreté serait entre sans aucune porte de secours dans la communauté rurale.
La peur reste grandissantes de la vache de pauvre qui est la chèvre car la population voit que la maladie peut être une épidémie difficile à maitriser.La guerre ayant emporter des centaines de milieux le petit bétail était jusqu’à maintenant la sourcer financier du bas peuple et une fois la chèvre qui représente plus de 70 pour cent de ruminant la pauvreté serait entre sans aucune porte de secours dans la communauté rurale.
une agriculture attractive pour le fermier et la jeunesse rurale: La maladie de banane au Burundi et les disposition...
une agriculture attractive pour le fermier et la jeunesse rurale: La maladie de banane au Burundi et les disposition...: Au Burundi, il est apparu une maladie de Banane bactériologique (BXW) incurable.Cette maladie aurait venue de l'Ouganda et se manifeste par ...
mardi 18 octobre 2011
La nouvelle technologie d'information et de la communication TIC et leur évolution dans le monde rural au Burundi
Macumi lors du chargement pour Bujumbura |
Après une décennie de présence de téléphonie cellulaire au Burundi, l'on peut affirme sans nulle doute que le cellulaire c'est le moyens de communication le plus rependu dans le pays.Ainsi la téléphonie Cellulaire est par excellence l'outil de communication qui est entrain de révolutionner positivement le monde Rural et plus particulièrement chez la jeunesse Rural.Les jeunes Ruraux n'ont pas forcement besoin de faire l'exode puisque à un seul coup de fil,ils peuvent tout arranger avec leurs clients,comme le fasse ce jeune home de Gasozo.
Avec le téléphone cellulaire financièrement accessible même à la population de faible revenue tout devient facile et d'un seul coup de fil,il peut gagner le triple de ce qu'il peut gagner dans son village.Le probleme rester la mentalité et les moyens de transports en Afrique puisque descendue sur vole avec son bagages,voici ce qu'il fait en retour chose pouvant mémé lui couter la vie.De gauche;Macumi de retour vers Mubimbi |
L'adage KIRUNDI dit que si l'on est blessé l'on doit savoir s'y prendre mais pour les initiateurs de ce projet Ardys comme le rapporteur de près je souhaiterais; qu'il aie encore une autre crie puisque les moyens de transport nous fond défaut dans le business en milieu rural.Macumi risque Beaucoup sa vie sur son velo n'ayant pas même d'assurance ou de mutuel de santé quand il descend facilement sur les Montagnes qui surplombent Bujumbura;il doit egalement user des moyens trop risquant pour regagne sa campagne.Une voix pour crie pour les infrastructure routières serait plus salvatrice pour les paysans enclavés dans leurs plateaux ou montagnes de l’Afrique de l'Est et Centrale.
La journée mondiale de l'alimentation 2011
Son excellence le deuxième Vice Président du Burundi |
Le deuxième vice Président de la République a affirmée que bientôt la population va avoir de l'engrais chimique a coup réduit.
La Fao et le Royaume de Belgique viennent financer le projet fruits et légumes autour de Bujumbura.
un champ de légume dans la plaine près de Bujumbura |
La population de Ngozi s’insurge contre l’abattage des bêtes malades à l’abattoir de la ville de Ngozi.
Une vache malade en attente d’être abattu à Ngozi |
L’abattoir de Ngozi travaille tous les jours. Tous les matins, différents types de bétail (chèvres, moutons et vaches) affluent pour être abattus. La viande est acheminée dans différents marchés et bistrots de la ville de Ngozi et de ses environs. Les informations émanant des sources proches de l’abattoir de Ngozi, affirment que parfois les bêtes malades sont abattues et une grande quantité de viande vendue dans les marché, une autre envoyée dans les provinces frontalières.
Pour éviter des pertes, les propriétaires des bêtes décident de les vendre à un prix réduit. Selon les mêmes sources, les bêtes malades qui sont souvent conduites à l’abattoir de Ngozi proviennent de Mivo, zone rurale de Ngozi et de la commune Busiga. « Les éleveurs manquent d’argent pour acheter des médicaments pour leurs bêtes et préfèrent les vendre avant qu’elles ne meurent », précisent nos sources.
Abattage dans la clandestinité
Régis Rukindikiza est père de deux enfants. Il habite le quartier Kigarama dans la ville de Ngozi. Selon lui, certains des abatteurs qui travaillent au marché central de Ngozi vendent souvent la viande du petit bétail (chèvres et moutons) abattus chez eux ou chez leurs propriétaires. Selon lui, ces bêtes sont abattues en l’absence du technicien vétérinaire communal. La population de la ville de Ngozi demande au médecin vétérinaire provincial et aux autorités communales de tout faire pour bannir ce comportement, sous peine de mettre en danger la vie de la population. Selon Clotilde Caraziwe, administrateur communal de Ngozi, il existe au sein de sa commune un comité de suivi qui vérifie que les bêtes sont d’abord traitées avant d’être abattues. Elle appelle à plus de vigilance pour ne pas mettre la vie des personnes en danger. De même, elle met en garde contre l’abattage domestique du bétail et promet des sanctions sévères
Pour éviter des pertes, les propriétaires des bêtes décident de les vendre à un prix réduit. Selon les mêmes sources, les bêtes malades qui sont souvent conduites à l’abattoir de Ngozi proviennent de Mivo, zone rurale de Ngozi et de la commune Busiga. « Les éleveurs manquent d’argent pour acheter des médicaments pour leurs bêtes et préfèrent les vendre avant qu’elles ne meurent », précisent nos sources.
Abattage dans la clandestinité
Régis Rukindikiza est père de deux enfants. Il habite le quartier Kigarama dans la ville de Ngozi. Selon lui, certains des abatteurs qui travaillent au marché central de Ngozi vendent souvent la viande du petit bétail (chèvres et moutons) abattus chez eux ou chez leurs propriétaires. Selon lui, ces bêtes sont abattues en l’absence du technicien vétérinaire communal. La population de la ville de Ngozi demande au médecin vétérinaire provincial et aux autorités communales de tout faire pour bannir ce comportement, sous peine de mettre en danger la vie de la population. Selon Clotilde Caraziwe, administrateur communal de Ngozi, il existe au sein de sa commune un comité de suivi qui vérifie que les bêtes sont d’abord traitées avant d’être abattues. Elle appelle à plus de vigilance pour ne pas mettre la vie des personnes en danger. De même, elle met en garde contre l’abattage domestique du bétail et promet des sanctions sévères
lundi 17 octobre 2011
La maladie de banane au Burundi et les dispositions à prendre pour prevenir nos bananeraies
Les feuilles sèches |
Ce qui es dangereux, la maladie peut être transportée par les insectes suceurs qui aillent d'une Bananeraie a une autre et bien par la mauvaise pratique du partage des plants malades dans la communauté.Comme solutions, l'on est entrain d'enseigner à la population comment s'y prendre puisque la Banane est par excellence la plante qui fait vivre les 90% de Burundais et même une propriété et synonyme d'une Bananeraie d’où le nom "ITONGO" pour designer une propriété en KIRUNDI.Pour empêcher la propagations l'on doit enterres les plants infectés et dans cette campagnes la Ministres de l"agriculture et de l"élevage Madame Ir Odete KAYITESI fait des descentes comment elle l'a fait récemment au mois de septembre dans la commune Bugarama de la Province Bujumbura Rural
samedi 15 octobre 2011
Le code foncier en attente d'être ratifié par le président de la République au Burundi.
Le Code foncier a été voté par les deux chambre du parlement jeudi le 30 juin. La population attend encore que le Président de la République du Burundi pose sa signature.Cette signature va soulager les population des paysannats qui ont exploitent ces terres pendant plus de 50 ans comme étant les prêt de l"état à sa population mais en vain n'ont pas eu le droit de léguer leur propriété à leurs enfants.
En effet dans les années 1960,le Gouvernement du Burundi a mobilisé la population des collines pour venir occuper la plaine de l'Imbo dans les provinces de Bubanza et Cibitoke.Dans le temps la population était très hostiles à la plaine puisque,la plaine était la zone la plus paludique par excellence.Pour persuader sa population à venir exploite cette zone non exploite,le gouvernement a créé des villages et des paysannats qui étaient de prêt de terre cultivable par l’État à la population qui accepte.Le problème réside sur le fait qu' après beaucoup d’année,après avoir même fait de petits enfants,le gouvernement n'a jamais songé à donner ces terres à cette population qui les a exploitée et qui est léser d'une certaine manière puisque ne pouvant pas léger les terres qu'elle a mis en valeurs à leurs enfants!
En effet dans les années 1960,le Gouvernement du Burundi a mobilisé la population des collines pour venir occuper la plaine de l'Imbo dans les provinces de Bubanza et Cibitoke.Dans le temps la population était très hostiles à la plaine puisque,la plaine était la zone la plus paludique par excellence.Pour persuader sa population à venir exploite cette zone non exploite,le gouvernement a créé des villages et des paysannats qui étaient de prêt de terre cultivable par l’État à la population qui accepte.Le problème réside sur le fait qu' après beaucoup d’année,après avoir même fait de petits enfants,le gouvernement n'a jamais songé à donner ces terres à cette population qui les a exploitée et qui est léser d'une certaine manière puisque ne pouvant pas léger les terres qu'elle a mis en valeurs à leurs enfants!
vendredi 14 octobre 2011
Journée porte ouverte au sein du ministère de l'agriculture et de l'élevage du Burundi
Ce Vendredi 14 octobre 2011, la ministère de l'agriculture et de élevage du Burundi a organisé une journée porte ouverte qui consistait au visionnage du film sur les réalisations du ministère cette année à la veille de la célébration de la journée mondiale sur l'alimentation qui sera célébré le 18 octobre 2011au Burundi.Les participants ont était curieux de savoir, quelles sont les réalisations du ministère après qu'il a eu un budget de 11% du budget global de l'État alors que l'an passé il en n'avait que 4%.
Effet,la ministre Madame Ir Odette KAYITESI a passé à gauche et à droite les contours de l’insécurité alimentaire au Buurundi et a signifiée que les 40% de la population sont mal nourries et mangent à peine 2 fois par jours.Elle a affirme par la suite qu'en 2020 la Population aura améliorer son alimentation et mangera a sa faim puisque les acteurs Publics et Privés, les organisation non gouvernementales tant nationales qu'internationales ont déjà prix la question au sérieux.La Journée s'est enfin clôturée par la visite d'un Étang Piscicole pour voir la technique de multiplication rapide du poisson.
Effet,la ministre Madame Ir Odette KAYITESI a passé à gauche et à droite les contours de l’insécurité alimentaire au Buurundi et a signifiée que les 40% de la population sont mal nourries et mangent à peine 2 fois par jours.Elle a affirme par la suite qu'en 2020 la Population aura améliorer son alimentation et mangera a sa faim puisque les acteurs Publics et Privés, les organisation non gouvernementales tant nationales qu'internationales ont déjà prix la question au sérieux.La Journée s'est enfin clôturée par la visite d'un Étang Piscicole pour voir la technique de multiplication rapide du poisson.
Quelques indices de la pauvreté du petit fermier Burundais et les solutions eventuelles
En milieu Rural
La pauvreté au Burundi arrive à son ultime degré à cause de l'éxeguité des terres surtout au nord du pays fais que la famine s'accentue et ainsi la question de souveraineté alimentaire est mise en cause.L'exemple est tragique dans la mesure, une famille peut cultiver pendant une semaine une espace prétendant leur nourrir durant toute l’année.Il arrive sauvant que le jeune paysans en age de se marier loue une maisonnette en paille puisque ne pouvant pas trouver une espace ou se construire une maison.La solution est alors dans l'union dans des groupements agricole ou coopératives biens encadrées puisque le gouvernement peuvent leur prêter de subvention.
En Ville
Dans les annees 1980 les pays allait bien et le citoyen mangeais a sa faim mais aujourd'hui dans le pays ; il ya des familles qui s'alternent à table de facon que si l'un a mangé midi ;il va ceder la place à l'autre qui va manger le soirou tout simplement manger une seule fois par jour ou en 2 jours.Il arrive que les chanteurs chantent que les cartes de certains partis politiques vont mieux que les diplomes de licence.
Au Burundi;trouvez un emploi est casse tête et meme si l'on parvient a en avoir; un Licencie percoit souvant moins de 100 dollars par mois et avec une vie si chère; il ne mange qu'une seule fois dans les grandes villes sans aucunes autre espoir de parvenir a un projet d'avenir efficacement.
A cela;il faut qu'une solutions politiques soit envisagée afin que la jeunesse trouve certaines alternatives surtout dans le secteur privée et cela va couter à l’état;faire un fond de soutient a la jeunesse et surtout faire la transparence dans le partage de certaines opportunités qui s'offrent.
La pauvreté au Burundi arrive à son ultime degré à cause de l'éxeguité des terres surtout au nord du pays fais que la famine s'accentue et ainsi la question de souveraineté alimentaire est mise en cause.L'exemple est tragique dans la mesure, une famille peut cultiver pendant une semaine une espace prétendant leur nourrir durant toute l’année.Il arrive sauvant que le jeune paysans en age de se marier loue une maisonnette en paille puisque ne pouvant pas trouver une espace ou se construire une maison.La solution est alors dans l'union dans des groupements agricole ou coopératives biens encadrées puisque le gouvernement peuvent leur prêter de subvention.
En Ville
Dans les annees 1980 les pays allait bien et le citoyen mangeais a sa faim mais aujourd'hui dans le pays ; il ya des familles qui s'alternent à table de facon que si l'un a mangé midi ;il va ceder la place à l'autre qui va manger le soirou tout simplement manger une seule fois par jour ou en 2 jours.Il arrive que les chanteurs chantent que les cartes de certains partis politiques vont mieux que les diplomes de licence.
Au Burundi;trouvez un emploi est casse tête et meme si l'on parvient a en avoir; un Licencie percoit souvant moins de 100 dollars par mois et avec une vie si chère; il ne mange qu'une seule fois dans les grandes villes sans aucunes autre espoir de parvenir a un projet d'avenir efficacement.
A cela;il faut qu'une solutions politiques soit envisagée afin que la jeunesse trouve certaines alternatives surtout dans le secteur privée et cela va couter à l’état;faire un fond de soutient a la jeunesse et surtout faire la transparence dans le partage de certaines opportunités qui s'offrent.
100 jours pour combattre la famine au nord du Burundi dans la province de Kirundo!
La province de kirundo au nord du Burundi |
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