Bonjour chèr(e) Ami(e);je vient de participer a un concours de blogs organisé par le CTA et ce blogue a été retenue parmi 36 meilleurs blogs sur les thèmes de l'agriculture parmi les 90 qui était en compétition.
En effet ; pour que ce blogue soit primé;votre voix est plus qu'utile et je compte sur vous;partage cette information a tout vos amis et reseaux.
Merci pour votre soutient a moi et ce secteur faisant vivre plusieurs million mais qui reste avec beaucoup de defis
une agriculture attractive pour le fermier et la jeunesse rurale
Ce blog est créé par Eric Mavaruganda«The voice of small farmer in Burundi» , le jeune fermier leader du Grand Forum des organisations d'agri-éleveurs du Burundi en vue de mobiliser et rendre l'agriculture et l’élevage plus attractive à la population rurale et plus particulièrement à la jeunesse faisant souvent l'éxode rural.
samedi 10 décembre 2011
dimanche 6 novembre 2011
La vote du projet de lois régissant les coopératives et groupements de fermiers au Burundi
Madame Ir Odette KAYITESI |
Les coopératives seront une autre étape crucial vers le développement du petit fermier car elle a un capital et ainsi elle peut contracter un crédit agricole à une institution financière.Ainsi,l'audience a voté à 100% la loi qu'elle a jugé salutaire pour le petit fermier.
Justification
Les coopératives sont peu développées et le nombre insuffisant de coopératives bien solides décourage les communautés ruraux.Dans les associations;les fermiers ne trouvent qu'une occasion de rencontre avec le amis;de parler la politique ou problèmes sociaux.
Au Burundi les groupements agricoles ou associations agricoles sont bien nombreuses mais ils se trouvent
sans espoir puisque de ce que nous voyons nous les acteurs;les financements ne sont accordées par les organisations non gouvernementales internationales ou institutions financières à des noms haut placées dans la sociétés.Ainsi;même l'argent destinés au petit paysan est détournée au niveau locale dans cette manière.L’avènement et la consolidation de coopératives va aider le petits paysan à accéder à cette argent qui lui était destinées sans pouvoir l’acquérir et cette fois ci, il aura la connaissance et le droit de bénéficier les services et prêts de Banques.
dimanche 30 octobre 2011
La micro entreprenariat au service de la jeunesse au Burundi
Justification
L'entreprenariat est sujet d’actualité puisque les temps ont changé il y'a quelques années.Il suffisait de terminer les écoles secondaires ou supérieurs et obtenir du boulots de la part du gouvernement ou directement être embauchée dans le secteur privé.Actuellement avec plus de 15 ans dans la guerre fratricide qui a emporte de centaines de milliers de frères et sœurs;le chaumage bat son recors au seins de la jeunesse et la formations humanistes qu'on reçoit au sein de l’école secondaire ou supérieur n'a plus de grande importance;les enseignement de metiers et formation pour ouvrir les esprits s'averent plus que necessaire et l'entreprenariat semble d'actualite et venir au juste moment même si accessibilité du capital un reste encore un grand défis à relever.
jeudi 27 octobre 2011
La privatisation de la filière café au Burundi : le cri des caféiculteurs
Un caféiculteur Burundais pendant la récolte |
Ils vont tenter d’expliquer une dernière fois leurs préoccupations sur la stratégie actuelle aux ministres et aux membres des commissions parlementaires concernés.
Sur terrain, les producteurs de café s’organisent pour vendre leur cerise au mieux offrant : c’est-à-dire les Sogestals et tous les autres privés sauf Webcor. En outre, beaucoup de coopératives de café sont en train de construire leurs propres stations de lavage sans ou avec l’aide des bailleurs de fonds internationaux qui soutiennent les revendications des caféiculteurs.
Webcor et les investisseurs potentiels doivent comprendre que les producteurs de café ne se laisseront pas faire. Ceux qui démontrent qu’ils ne veulent pas donner un prix correct aux caféiculteurs et qui contribuent par conséquent à l’appauvrissement d’un peuple sortant de la guerre civile, ne vont pas rentabiliser leurs investissements. Ils ne vont jamais recevoir assez de cerises de café.
Les producteurs revendiquent :
* Le gel du second appel d’offre pour la vente des stations aux multinationales extérieures, tant que les acteurs concernés ne se sont pas concertés quant à la meilleure stratégie de privatisation à mettre en œuvre
* Que la Banque Mondiale revoie les conditions de soumission aux appels d’offre, qui excluent de fait les caféiculteurs burundais, non seulement du processus de décision, mais aussi de l’acquisition de stations
* Que l’Etat burundais et ses partenaires reconnaissent la propriété des stations aux caféiculteurs, qui les ont remboursées via la taxe prélevée par l’Etat sur leur café
* La CNAC appelle également de ses vœux une stratégie alternative de la part de l’Etat burundais et de la Banque mondiale qui permettrait de dégager des moyens pour appuyer les paysans pour améliorer la ductivité de la filière
* La révision de la stratégie actuelle de privatisation pour intégrer toutes leurs préoccupations.
Contexte : le Burundi, 3ème pays le plus pauvre de la planète, tire 80% de ses recettes d’exportation du café qui constitue la principale source de revenus pour près de 750.000 familles, soit près de 55% de la population burundaise. Les 145 usines de lavage du café constituent le principal tissu industriel du pays.
En 2005, la Banque Mondiale exige le démantèlement total de la filière et la privatisation des 133 usines de dépulpage publiques, ce qui permettra de contrôler l’exportation du produit.
Précisons que, depuis des décennies, une taxe de 60 Fbu/kg de café-cerise est prélevée auprès des producteurs pour rembourser la dette contractée par l’Etat à l’époque de la construction des stations de lavage dans les années ’80. Les caféiculteurs considèrent donc que les stations dont ils ont remboursé le prêt leur appartiennent au moins partiellement, si ce n’est pas en totalité.
En 2009, la Banque mondiale décide de conditionner ses aides prévues au budget national (51% du budget ordinaire burundais en 2009 !) et à divers programmes au lancement de l’appel d’offre tel que proposé par diverses études qu’elle avait commanditées.
Le Gouvernement est bien obligé de se plier à ces injonctions et lance un premier appel d’offres. Malgré les protestations des caféiculteurs, le Groupe suisse WEBCOR se voit attribuer trois lots, soit 13 stations de dépulpage et de lavage au prix d’un million de dollars, un prix d’achat dérisoire si on sait que l’Union européenne avait injecté en 2008 la somme de 19 millions d’euros pour la seule rénovation des 133 stations de lavage.
Les producteurs réunis au sein de la CNAC se voient dépossédés de leur outil de transformation saisissent la justice, mais aussi demandent un dialogue avec le Gouvernement. C’est ainsi que le 20/1/2011, un atelier de concertation et d’échanges sur cette privatisation a réuni tous les intervenants dans la filière avec comme thème, « Un consensus est possible ». Les structures gouvernementales qui étaient présentes à cet atelier sont le Ministère à la Présidence chargé de la bonne gouvernance et de la privatisation, l’ARFIC, le comité des réformes de la filière café et le SCEP.
A l’issu de cet atelier, des engagements avaient été pris par les représentants du gouvernement notamment :
* La révision participative de la stratégie de privatisation encours avant le deuxième appel d’offre, en y intégrant les préoccupations des producteurs (la stratégie n’est pas une bible)
* L’évaluation objective de la première vente pour tirer les leçons appropriées.
Le 11/2/2011, une émission radio a été diffusée sur les antennes de six radios et les représentants du gouvernement ont repris les mêmes engagements.
En outre, l’un des objectifs principaux annoncés dans la stratégie de désengagement de l’Etat dans la filière café est l’amélioration du prix au producteur. Or, dans les provinces où Webcor a acquis des stations, la situation est aujourd’hui au bord de l’implosion et de la révolte populaire, car la multinationale paie le café aux producteurs à un prix nettement inférieur à celui des usines contrôlées par les autres acteurs de la filière.
Elle a en effet payé lors de la dernière campagne, 350 FBU/kg de cerise contre 490 FBu payé par les autres acteurs. La CNAC dénonce cette pratique d’achat à bas prix met en garde le gouvernement sur ce risque de révolte populaire pour réclamer le droit le plus élémentaire des producteurs.
mercredi 26 octobre 2011
une agriculture attractive pour le fermier et la jeunesse rurale: une option pour vaincre la famine au Burundi
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lundi 24 octobre 2011
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dimanche 23 octobre 2011
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